jeudi 3 mars 2011

C’est quoi faire du développement durable ?


Apprendre à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements.

Si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.

jeudi 27 janvier 2011

Être éco-consommateur.




Un éco-consommateur est un consommateur qui va réfléchir sur les conséquences sociales et environnementales de son acte d'achat : il va adopter une consommation responsable.
Il va avant tout réfléchir sur la nécessité absolue d'acheter tel ou tel produit. Si l'achat s'avère indispensable, il va faire en sorte de minimiser son impact environnemental, et de se préoccuper des conséquences sociales de son acte de consommation.
Concernant le produit qu'il va consommer, il s'informe sur ses conditions de fabrication (travail des enfants, conditions de travail des salariés...) et l'impact environnemental de ce produit, tout au long de son cycle de vie (matériaux qui le constituent, fabrication, distribution, achat, utilisation, élimination).Il va privilégier les produits issus de l'éco-conception, et du commerce équitable notamment.
Lorsqu'il achète un produit, l'éco-consommateur va se poser un certain nombre de question :
  • Dans quelles conditions et par qui ce produit a été fabriqué ?
  • Ce produit est-il recyclable en fin de vie ?
  • Est-il fabriqué avec des matières premières renouvelables ?
  • Ce produit a-t-il parcouru des milliers de kilomètres de transport avant d'arriver ici ?
  • Contient-il des produits toxiques ?
  • A-t-il un éco-label ?
  • Le même produit existe-t-il en vrac plutôt qu'avec des emballages ?
Avoir une démarche de consommation responsable, c'est devenir un consommateur averti, responsable, et engagé 
  




Voir un reportage photos sur ce sujet



Bibliographie:

 Site: Verdura
Consulté le 24/01 /11
 

mercredi 26 janvier 2011

Préférez le coton "Bio"

Le coton conventionnel est une des cultures les plus polluantes : 25% des pesticides mondiaux pour 2,5% des terres cultivées et l'achat d'engrais est la principale source d'endettement et de dépendance des paysans. des pays qui le cultivent
Le blanchiment du coton exige fréquemment d’utiliser du chlore ou des azurants chimiques. La teinture du coton, elle, requiert souvent d’employer des métaux lourds comme du plomb ou du chrome, évidemment toxiques. Un T-shirt consomme pour sa production 25 000 litres d’eau et émet 5,2 kg de CO2 (autant que 27 km en avion)
Le coton biologique : il s'agit de coton cultivé sans engrais chimique ni pesticide. La fibre du coton bio est blanchie à l'eau oxygénée et non au chlore. Les teintures des vêtements en coton bio sont réalisées sans métaux lourds ou autres substances cancérigènes. Le coton biologique est moins gourmand en eau et en adjuvant chimique. La culture biologique du coton bio permet aux agriculteurs, en réduisant leurs investissements, de sortir de l'engrenage de l'endettement.

La mode éthique : l'offre de vêtements et d'accessoires proposée par des structures artisanales et industrielles qui soutiennent et favorisent, à travers l'éthique mise en avant dans toute leur démarche, un commerce plus juste et la mise en place de filières propres, de conditions de travail décentes et d'actions en faveur de la protection de l'environnement.

mercredi 19 janvier 2011

Le commerce équitable, c'est quoi?

 Le commerce équitable vise à équilibrer les échanges commerciaux entre les petits producteurs du Sud et les consommateurs du Nord. Pourquoi ? Parce que ces échanges s'effectuent au désavantage des petits producteurs de matières premières. Pour qu'un produit soit considéré du "Commerce juste",il doit être produit dans des conditions sociales et de travail dignes, être payé à un prix qui permet la permanence d'un projet de production concret et éliminer les intermédiaires de la distribution. Dans le processus de fabrication n'existent ni l'exploitation, ni la main d'œuvre infantile, ni la discrimination raciale, de sexe ou autre.

mardi 18 janvier 2011

Le pouvoir du consommateur

Etre consommateur ou consom'acteur ?



Comment mange la planète ?


Une famille britannique : 253.15 $ / semaine
Tchad : 1,62 $ / semaine
Comment mangent les gens à l’autre bout de la planète? C’est la question à laquelle le photographe Peter Menzel a tenté de répondre en photographiant la nourriture consommée en une semaine par une famille moyenne de différents pays. Le prix affiché en dollar représente la somme de l’argent dépensé pour toute cette nourriture.

dimanche 9 janvier 2011

Le contenu de notre assiette


Plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre en France sont émise par les ménages, dont une part non négligeable est imputable à l’alimentation. En effet, à tout au long du processus de fabrication d’un aliment, chaque étape émet des gaz à effet de serre (culture ou élevage, transformation, emballage, conservation et transports).
 Selon le mode de culture des produits agricoles, l’origine géographique des produits et la quantité d’emballages, l’impact sur les émissions de gaz à effet de serre des différents produits est très différent. Ce document a pour objectif de sensibiliser le consommateur que nous sommes et permettre une mise en place de pratiques d’achat respectueuses du climat. 

C'est notre comportement de consommateur qui contribue à orienter l'évolution de notre société, car nos achats sont à l'origine des modes de production, et les consommateurs doivent s’interroger davantage sur le caractère sain et nutritif de leur régime alimentaire mais aussi se demander s’il respecte les écosystèmes de notre planè
  • Peut-on se plaindre de procédés douteux qui mettent en danger notre santé et continuer à acheter les produits de ceux qui les utilisent?
  • Peut-on se lamenter de la faim dans le monde mais ne pas utiliser notre pouvoir de consommateur pour combattre les injustices sociales?
  • Peut-on dénoncer les émissions sans cesse croissantes de CO2 ? mais ne pas prendre en compte l'empreinte écologique des produits de notre assiette?